Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1862 - France |
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Page 8
... payer au saint - siége . Ainsi , ils avaient disposé l'un et l'autre de ce qui ne leur appartenait pas selon le droit public du royaume ; dans les dépouilles de l'Église gallicane , le pape , dit Mézeray en forçant quelque peu les ...
... payer au saint - siége . Ainsi , ils avaient disposé l'un et l'autre de ce qui ne leur appartenait pas selon le droit public du royaume ; dans les dépouilles de l'Église gallicane , le pape , dit Mézeray en forçant quelque peu les ...
Page 13
... payer . François lui avait promis 400 000 écus pour leur solde ; mais la duchesse d'Angoulême , jalouse de la comtesse de Châteaubriant , sœur de Lautrec et favorite du roi , s'était fait livrer , par le sur- intendant Samblançay , les ...
... payer . François lui avait promis 400 000 écus pour leur solde ; mais la duchesse d'Angoulême , jalouse de la comtesse de Châteaubriant , sœur de Lautrec et favorite du roi , s'était fait livrer , par le sur- intendant Samblançay , les ...
Page 26
... payer ses soldats . La gendarmerie fit de fort belles charges ; cependant la victoire était perdue sans les gens de pied des vieilles bandes françaises et suisses . Les Es- pagnols perdirent 12 000 hommes , tout leur canon , leurs ba ...
... payer ses soldats . La gendarmerie fit de fort belles charges ; cependant la victoire était perdue sans les gens de pied des vieilles bandes françaises et suisses . Les Es- pagnols perdirent 12 000 hommes , tout leur canon , leurs ba ...
Page 39
... payer une somme de 500 000 couronnes aux Anglais si elle n'avait pas restitué cette ville au bout de huit ans , ce qu'elle se garda bien de faire . Les deux rois de France et d'Espagne se rendaient mutuellement leurs conquêtes sur la ...
... payer une somme de 500 000 couronnes aux Anglais si elle n'avait pas restitué cette ville au bout de huit ans , ce qu'elle se garda bien de faire . Les deux rois de France et d'Espagne se rendaient mutuellement leurs conquêtes sur la ...
Page 48
... payer une in- demnité . - Finances . L'administration plus compliquée , les armées plus nombreuses , la nouvelle marine et le luxe de la cour , exigeaient des sommes énormes . François Ier , pour puiser à pleines mains dans la bourse du ...
... payer une in- demnité . - Finances . L'administration plus compliquée , les armées plus nombreuses , la nouvelle marine et le luxe de la cour , exigeaient des sommes énormes . François Ier , pour puiser à pleines mains dans la bourse du ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était campagne canon cardinal Catherine de Médicis catholiques Charles Charles IX Charles-Quint château civile clergé Colbert commença comte Condé conseil coup cour déclara dépenses donner duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte forces François Ier gagna garde général gens gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes jour juillet l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa lettres liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menaçait ment Milan millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer Pays-Bas peuple Philippe Piémont place politique port premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes règne reine reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 80 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 328 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 275 - Nos artisans grossiers rendus industrieux, Et nos voisins frustrés de ces tributs serviles Que payait à leur art le luxe de nos villes.
Page 373 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 471 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 519 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 247 - ... les membres des quatre cours souveraines, le parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Page 172 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 680 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 306 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.