Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1862 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 98
Page 7
... mois . Maximilien Sforza n'attendit pas qu'on fit sauter son château ; il abandonna son duché en échange d'une pension . L'Empereur fut contraint de rendre Vérone aux Vénitiens nos alliés ; le roi d'Angleterre se laissa racheter Tournay ...
... mois . Maximilien Sforza n'attendit pas qu'on fit sauter son château ; il abandonna son duché en échange d'une pension . L'Empereur fut contraint de rendre Vérone aux Vénitiens nos alliés ; le roi d'Angleterre se laissa racheter Tournay ...
Page 18
... mois , Rome subit des tortures et des ou- trages que les Goths et les Vandales ne lui avaient pas infligés . C'était l'armée de Charles - Quint qui profanait ainsi la capitale de la chrétienté , et qui tenait le pape captif dans le ...
... mois , Rome subit des tortures et des ou- trages que les Goths et les Vandales ne lui avaient pas infligés . C'était l'armée de Charles - Quint qui profanait ainsi la capitale de la chrétienté , et qui tenait le pape captif dans le ...
Page 25
... mois auparavant ( oct . et nov . 1541 ) , Charles - Quint avait dirigé contre Alger une expé- dition formidable . Mais sa flotte , assaillie par une affreuse tempête , avait été presque entièrement détruite . La mer était done libre ...
... mois auparavant ( oct . et nov . 1541 ) , Charles - Quint avait dirigé contre Alger une expé- dition formidable . Mais sa flotte , assaillie par une affreuse tempête , avait été presque entièrement détruite . La mer était done libre ...
Page 35
... mois à ce siége . Il foudroya la place de quatorze mille coups de canon ; il ouvrit une brèche de cent pieds de large , et il ne put même pas don- ner l'assaut , car derrière chaque pan de mur qui s'écroulait , les assiégeants en ...
... mois à ce siége . Il foudroya la place de quatorze mille coups de canon ; il ouvrit une brèche de cent pieds de large , et il ne put même pas don- ner l'assaut , car derrière chaque pan de mur qui s'écroulait , les assiégeants en ...
Page 43
... mois 500 accusés , et un grand nombre de gentilshommes furent con- damnés . Ainsi les seigneurs ont bien encore des priviléges de 1. Relations des ambassadeurs vénitiens , t . I , p . 271 . 2. Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , avait ...
... mois 500 accusés , et un grand nombre de gentilshommes furent con- damnés . Ainsi les seigneurs ont bien encore des priviléges de 1. Relations des ambassadeurs vénitiens , t . I , p . 271 . 2. Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , avait ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était campagne canon cardinal Catherine de Médicis catholiques Charles Charles IX Charles-Quint château civile clergé Colbert commença comte Condé conseil coup cour déclara dépenses donner duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte forces François Ier gagna garde général gens gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes jour juillet l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa lettres liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menaçait ment Milan millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer Pays-Bas peuple Philippe Piémont place politique port premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes règne reine reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 80 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 328 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 275 - Nos artisans grossiers rendus industrieux, Et nos voisins frustrés de ces tributs serviles Que payait à leur art le luxe de nos villes.
Page 373 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 471 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 519 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 247 - ... les membres des quatre cours souveraines, le parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Page 172 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 680 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 306 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.