Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1862 - France |
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Page 16
... faisait coup sur coup des brèches dedans les ba- taillons ennemis , de sorte que n'eussiez vu que bras et têtes voler . » Mais comme ils commençaient à fléchir sous ce feu meurtrier , le roi crut avoir cause gagnée ; il se jeta sur eux ...
... faisait coup sur coup des brèches dedans les ba- taillons ennemis , de sorte que n'eussiez vu que bras et têtes voler . » Mais comme ils commençaient à fléchir sous ce feu meurtrier , le roi crut avoir cause gagnée ; il se jeta sur eux ...
Page 18
... dans le château Saint - Ange . Il est vrai que l'Empereur , afin de cacher la part qu'il avait prise dans ce grand scandale , faisait dire des messes pour la délivrance du saint - père . Les brigands 18 FRANÇOIS 1er ( 1515-1547 ) .
... dans le château Saint - Ange . Il est vrai que l'Empereur , afin de cacher la part qu'il avait prise dans ce grand scandale , faisait dire des messes pour la délivrance du saint - père . Les brigands 18 FRANÇOIS 1er ( 1515-1547 ) .
Page 25
... faisait l'ornement : « Vous voyez cette belle dame , dit Fran - ` çois Ier à l'Empereur , eh bien ! elle me conseille de vous gar- der . — Si le conseil est bon , répond Charles , il faut le suivre . » Mais le soir il eut soin de ne ...
... faisait l'ornement : « Vous voyez cette belle dame , dit Fran - ` çois Ier à l'Empereur , eh bien ! elle me conseille de vous gar- der . — Si le conseil est bon , répond Charles , il faut le suivre . » Mais le soir il eut soin de ne ...
Page 45
... faisait dans le tiers état de son chancelier , de ses secrétaires , de sesjuges et de ses hommes de finance , suffisait pour lui assurer le dévouement de cet ordre . Mais les gens de justice avaient acquis par leur science , par l ...
... faisait dans le tiers état de son chancelier , de ses secrétaires , de sesjuges et de ses hommes de finance , suffisait pour lui assurer le dévouement de cet ordre . Mais les gens de justice avaient acquis par leur science , par l ...
Page 86
... faisait brûler Michel Servet pour avoir attaqué le dogme de la Trinité ; montrant ainsi que , dans ce siècle d'éner– giques croyances , les persécutés ne pratiquaient pas plus la tolérance que les persécuteurs . Sous la main de cet ...
... faisait brûler Michel Servet pour avoir attaqué le dogme de la Trinité ; montrant ainsi que , dans ce siècle d'éner– giques croyances , les persécutés ne pratiquaient pas plus la tolérance que les persécuteurs . Sous la main de cet ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était campagne canon cardinal Catherine de Médicis catholiques Charles Charles IX Charles-Quint château civile clergé Colbert commença comte Condé conseil coup cour déclara dépenses donner duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte forces François Ier gagna garde général gens gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes jour juillet l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa lettres liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menaçait ment Milan millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer Pays-Bas peuple Philippe Piémont place politique port premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes règne reine reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 80 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 328 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 275 - Nos artisans grossiers rendus industrieux, Et nos voisins frustrés de ces tributs serviles Que payait à leur art le luxe de nos villes.
Page 373 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 471 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 519 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 247 - ... les membres des quatre cours souveraines, le parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Page 172 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 680 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 306 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.