Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1862 - France |
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... dernier soupir ( 1519 ) , est malheureusement fausse . Mais ce qui est vrai , c'est qu'il l'appelait son père ; c'est qu'il recevait un tableau de Raphaël avec l'appareil des pompes royales ; c'est qu'il aimait toutes les choses de l ...
... dernier soupir ( 1519 ) , est malheureusement fausse . Mais ce qui est vrai , c'est qu'il l'appelait son père ; c'est qu'il recevait un tableau de Raphaël avec l'appareil des pompes royales ; c'est qu'il aimait toutes les choses de l ...
Page 14
... Dernier repré- sentant de la féodalité du moyen âge , Bourbon croyait pouvoir agir comme les anciens ducs de Bretagne et de Bourgogne . Il oubliait qu'il y avait maintenant une France qui voulait rester unie , et qu'une trahison envers ...
... Dernier repré- sentant de la féodalité du moyen âge , Bourbon croyait pouvoir agir comme les anciens ducs de Bretagne et de Bourgogne . Il oubliait qu'il y avait maintenant une France qui voulait rester unie , et qu'une trahison envers ...
Page 21
... dernier des Pères de l'Église , fléchissaient sous le poids des abus . En vain , au quinzième siècle , les conciles de Bâle et de Constance s'étaient proposé de corriger la discipline et les mœurs ; en vain le cardinal Julien disait à ...
... dernier des Pères de l'Église , fléchissaient sous le poids des abus . En vain , au quinzième siècle , les conciles de Bâle et de Constance s'étaient proposé de corriger la discipline et les mœurs ; en vain le cardinal Julien disait à ...
Page 35
... dernier corps quitta le camp , laissant derrière lui une foule de blessés et de mourants . « De quelque côté qu'on regardât , on ne voyoit que soldats morts ou auxquels il ne restoit qu'un peu de vie , étendus dans la boue par grands ...
... dernier corps quitta le camp , laissant derrière lui une foule de blessés et de mourants . « De quelque côté qu'on regardât , on ne voyoit que soldats morts ou auxquels il ne restoit qu'un peu de vie , étendus dans la boue par grands ...
Page 38
... dernier et honteux souvenir de la guerre de Cent ans était donc effacé ; les Anglais ne possédaient plus un pouce de terrain en France . Une tenta- tive , pour se dédommager , sur Brest ne leur réussit point , les paysans bas - bretons ...
... dernier et honteux souvenir de la guerre de Cent ans était donc effacé ; les Anglais ne possédaient plus un pouce de terrain en France . Une tenta- tive , pour se dédommager , sur Brest ne leur réussit point , les paysans bas - bretons ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était campagne canon cardinal Catherine de Médicis catholiques Charles Charles IX Charles-Quint château civile clergé Colbert commença comte Condé conseil coup cour déclara dépenses donner duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte forces François Ier gagna garde général gens gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes jour juillet l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa lettres liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menaçait ment Milan millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer Pays-Bas peuple Philippe Piémont place politique port premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes règne reine reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 80 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 328 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 275 - Nos artisans grossiers rendus industrieux, Et nos voisins frustrés de ces tributs serviles Que payait à leur art le luxe de nos villes.
Page 373 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 471 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 519 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 247 - ... les membres des quatre cours souveraines, le parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Page 172 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 680 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 306 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.